Preview – Décollage et opening imminent au Terminal 7 le 2 décembre

Le Terminal 7 ou pour les intimes le T7, se trouvant à Porte de Versailles, va devenir le nouveau lieu de la scène électronique de Paris.

Géré par l’agence Noctis, qui détient plusieurs salles dans Paris, tel le YoYo du Palais de Tokyo ou encore le R2 à Marseille, va ouvrir prochainement le nouveau club Terminal 7. Un espace très prometteur !

Anciennement Electric, on se souvient alors de VillaLobos en train de mixer avec un lever du soleil mémorable et une vue panoramique sur Paris : tout simplement MAGNIFIQUE ! (le T7 propose aussi la privatisation du club pour des événements privés). Par ailleurs, le spot organisera 3 soirées par mois qui promettent un line-up de qualité et pointu pour commencer. Un lieu qui aspire à être un club incontournable de la fête parisienne.

 

 

Avec un espace de 1000 m² complètement rénové, accompagné d’un système son venant du prestigieux L-Acoustis, l’expérience promet d’être inoubliable. De plus, son design refait à neuf, puisant sa source d’inspiration dans le côté artistique et culturel a permis de créer un projet incarné par Guto Requena, célèbre architecte.

Design qui est représenté par un arbre inversé avec des racines prenant place dans le ciel : qui, tout simplement, a pour métaphore et idée de nous dire que nous rentrons dans un autre univers. Tel est l’objectif du T7 : nous faire rêver. Accompagné de la terrasse panoramique de 400m², cela promet une vue imprenable sur Paris. Enfin, l’éclairage multicolore du club permettras d’être plongé en immersion totale dans une autre dimension. Le design et la culture du lieu accompagné de bonnes pulsations musicales vont vous assurer une expérience inoubliable dans un univers complètement révolutionnaire.

Ce lieu est tout simplement magique. Il permet d’écouter de la bonne musique en pouvant apprécier le lever du soleil sur une vue panoramique de Paris avec une touche artistique unique. Que demander de plus ?

Accompagné d’un intérieur vaste, le lieu n’est pas qu’un lieu pour danser, mais une expérience hors du commun durant votre soirée. Faire une soirée au T7 n’est pas la même chose que de faire une soirée dans un club banal. En ressortant de la soirée du T7, vous serez éblouie par la beauté du lieu ainsi que par la musique.

Le T7 casse les codes en invitant des pointures de la scène techno. Le T7 sera aussi un lieu pour taper du pied et se dégourdir les jambes en dansant.


Opening le 2 décembre et programme de décembre


L’ouverture se passera le 2 décembre et s’étalera les 15 et 29 décembre prochains.

Pour la première soirée du 2 décembre, l’aventure commencera avec des sons mélodieux et rythmés de Worakls du label Hungry, celui de NT’O et de Joachim Pastor. Accompagné de Stereoclip du même label et Will Spleen du label danceCode, ce sera une soirée 100% hungry music party.

Le 15 décembre, une soirée all night avec Sam Paganini -du label DrumCode- nous dévoilera un set purement techno pour sentir le rythme passé sous nos pieds. Sam nous présentera son nouvel album « Zenith tour Album », une soirée exclusive !

Enfin, le 29 décembre, trois grosses pointures feront leurs entrées dans le club telles Apollonia, Sonja Moonear du label Cocoon Recordings et Marwan Sabb.

Nous pouvons facilement comprendre que vu la qualité des line up, il faudra obligatoirement faire un tour au T7, rien que pour sa vue et surtout pour sa douce mélodie et battements de claps techno. On aperçoit aussi que le line-up est très éclectique et diversifié. Ainsi, il y en aura pour tous les goûts. Donc pas d’excuses possibles : ALLEZ VITE Y FAIRE UN TOUR à partir du 2 décembre !

Il faut noter également l’exigence du line-up qui montre le professionnalisme de l’équipe (Frédéric Agostini & Tibo ‘z pour la direction artistique et Julie Ways pour la prod et les RP). En somme, un lieu magnifique avec vue panoramique sur Paris, un nouveau système son et une architecture faite par un architecte de renom.

ItinéraireBis vous fait déjà gagner des places pour les soirées du mois de décembre !


Preview par Paul Starcky – Crédits photo: Terminal 7